Jubilé de la miséricorde

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Conférence

Conférence « Accueillir la miséricorde de Dieu : redécouvrir le sacrement du       pardon » : jeudi 31 mars à 20h30 à l'église

Livret "C'est beau la miséricorde !"

Livret « C'est beau la miséricorde ! » : prendre connaissance de ce livret offert à l'occasion du jubilé de la miséricorde

Conférence du jeudi 10 décembre

Synthèse de la conférence du 10 décembre 2015 

L’intervention du Père Bruno Valentin nous a aidés à passer la Porte Sainte et à entrer dans l’agir du Dieu miséricordieux. Elle nous a permis d’approcher de la joie de ce Dieu qui nous attend, ce Dieu patient qui nous laisse faire notre route. Il nous faut donc commencer à prier et demander au Seigneur de nous séduire à nouveau, de nous reconquérir pour que l’Eglise vive sa vocation : celle d’être mue par la miséricorde de Dieu. Cela signifie aussi l’implication vive de l’Eglise dans tous les lieux de vie pour prendre l’odeur du monde (sans tomber dans la mondanité), pour prendre l’odeur du frère : pour accompagner, durer dans la patience. L’Eglise se doit de témoigner du primat de la miséricorde sur le jugement. La miséricorde est notre raison d’être et nous n’avons rien d’autre à dire au monde que Dieu nous aime. Il est donc urgent de sortir de soi pour une vie fraternelle. C’est pourquoi l’option préférentielle pour les pauvres n’est pas un choix politique mais eschatologique : nous serons jugés sur la miséricorde.

 

Mais la vie selon la miséricorde est un combat spirituel car l’amour n’est pas aimé, car nos blessures sont trop vives et le manque de miséricorde semble criant, car nous avons peur de la souffrance des autres, car nous manquons tout simplement de courage et d’audace.

 

Ainsi, nous avons amorcé notre réflexion sur les œuvres de miséricorde corporelles et spirituelles que le pape François veut réveiller dans nos consciences : « Redécouvrons les œuvres de miséricorde corporelles : donner à manger aux affamés, donner à boire à ceux qui ont soif, vêtir ceux qui sont nus, accueillir les étrangers, assister les malades, visiter les prisonniers, ensevelir les morts. Et n’oublions pas les œuvres de miséricorde spirituelles : conseiller ceux qui sont dans le doute, enseigner les ignorants, avertir les pécheurs, consoler les affligés, pardonner les offenses, supporter patiemment les personnes ennuyeuses, prier Dieu pour les vivants et pour les morts »